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L’édentation, qu’en faire?

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Des complications phonétiques sont possibles en cas d’édentement maxillaire. L’insomnie entraîne l’absence d’une ou plusieurs dents dans la bouche d’une personne. Les dents de sagesse ou les troisièmes molaires ne sont pas affectées par cette définition. Il est de type maxillaire lorsqu’il affecte la mâchoire supérieure. Il s’agit d’une condition qui affecte généralement les personnes d’âge avancé. En revanche, les complications en phonétique peuvent avoir deux causes: psychologique et fonctionnelle. Psychologiquement, une personne édentée a du mal à communiquer normalement par la parole. Il a honte d’ouvrir la bouche en parlant et présente un inconfort en termes de langage. En revanche, les dents jouent un rôle important dans la parole. Ils construisent une grille psychique pour le mouvement de la langue et une sorte de barrière à l’air expiré.

Leur absence provoque un freinage direct sur l’articulation, en effet, les édentés sont incapables de parler correctement. L’édentation contribue également à la diminution des récepteurs dans la cavité buccale qui se traduisent par le manque de sécrétion salivaire, d’où le dessèchement de la bouche. La privation d’air et de salive dans la bouche conduit à une mauvaise prononciation de certaines consonnes telles que f, s, t … Il est possible d’approcher un cabinet dentaire et de trouver la solution adaptée à cette complication. Quel plan de traitement un spécialiste dentaire devrait-il adopter? L’édentarité, qu’elle soit totale ou partielle, nécessite toujours l’avis d’un spécialiste dentaire. Une personne souffrant de cette pathologie doit donc avoir la conviction de se rendre dans un cabinet dentaire. Le dentiste doit toujours assigner des examens médicaux pour établir un diagnostic pour chaque situation, car le plan de traitement peut différer d’un patient à l’autre.

Le dentiste peut alors procéder à 3 étapes importantes pour le plan de traitement. Ainsi, la première étape consiste en des examens médicaux, pour savoir si le patient présente ou non une résorption osseuse. Ensuite, dans la deuxième étape, nous pouvons noter la validation de la prothèse assistante complète. Il doit être stable, avoir la bonne dimension, avec le bon rapport intermaxillaire. Enfin, dans la troisième étape, prise de décision ou détermination du protocole chirurgical et prothétique.